Le Tour de France 1952

dans les Pyrénées

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C’est la dernière pente qui mène au sommet du Tourmalet et Coppi a une allure facile.

Grimaçant de fatigue, l’Italien Pezzi emmène Bartali et Teisseire dans le chaos désertique du Tourmalet.

Duel sévère dans la brume de l’Aubisque : Robic tente de s’enfuir mais Coppi veille au grain.

Mais premier en haut du Tourmalet et de l’Aubisque, Coppi sera aussi premier à Pau pour l’arrivée. Sauf accident, Coppi a gagné le Tour !

A quelques kilomètres de Pau, Coppi est rejoint par Ruiz, Bauvin, Ockers et Robic.

Le Belge Stan Ockers (2ème du général à Paris) passe le Tourmalet.

Dans le col du Soulor, Robic a rejoint Coppi et s’est porté en tête.

La foule, massée en haut du Soulor, acclame Robic, suivi de Gelabert et Ockers.

Fausto Coppi se ravitaille à Argelès-Gazost, suivi de Bauvin et Géminiani.

La solitude des coureurs dans le Tourmalet. Robic, Ruiz et Bauvin paraissent minuscules. Ils foncent vers Barèges.

Dimanche 13 juillet : étape Toulouse - Bagnères-de-Bigorre

Le début d’étape est assez calme et les hostilités commencent dans la montée de Peyresourde. Le Français Jean Dotto s’est échappé et le peloton des favoris réagit. On reconnaît au premier plan : Geminiani, Robic, L. Lazaridès, Ockers et Coppi. Au second plan se trouvent : Marinelli, Bartali et Gelabert.

Le col de Peyresourde. Le peloton est emmené par Coppi.

Au sommet de Peyresourde, Gelabert et Robic ont sprinté pour la première place. Dotto a été rattrapé.

C’est dans la descente de Peyresourde que Geminiani attaque. Il va fondre sur Arreau avec une minute d’avance.

On retrouve le grand champion français Geminiani dans le col d’Aspin.

Robic mène le train devant Gelabert, Coppi et Ockers. Bien joué les tricolores. Au fond, le village d’Arreau.

Geminiani grimpe à l’énergie, ne ménageant pas ses efforts.

Geminiani franchit le col d’Aspin (Trophée St-Raphaël-Quinquina) avec 55 secondes d’avance. Il se dirige vers une belle victoire à Bagnères.

Un monde fou regarde passer Goldschmidt au sommet d’Aspin.

Bartali et Le Guilly luttent pour la dixième place.

Geminiani remporte un beau succès. On retrouve beaucoup de monde aux soins : ici Van Est.

Dans les premières pentes du Tourmalet, les premiers coureurs règlent l’allure. On reconnaît en tête : De Gribaldy, Coppi, Ockers et Ruiz.

Au 15ème kilomètre, l’Italien Carréa s’est porté en tête, suivi de Fausto Coppi.

A Sainte-Marie-de-Campan, le Tour s’arrête pour Guy Lapébie, asphyxié par une bronchite.

Lundi 14 juillet : étape Bagnères-de-Bigorre - Pau

Trois coureurs au repos dans un hôtel de Bagnères-de-Bigorre. En 1952, on court pour des équipes nationales, mais on peut lire le nom de « Garin » sur les maillots. Merci de bien vouloir nous renseigner sur le nom de l’équipe et les coureurs.

Robic se place en première position.

Jean Robic dans le Tourmalet.

Les employés de l’hôtel de Bagnères (merci de nous renseigner si vous reconnaissez l’hôtel : loucrup@orange.fr)